lundi 24 septembre 2007

That's Canadian humour

For those interested in culture discoveries; let's face another chapter!

My uncle asked my about Canadian humour. I wasn't able to answer. But then, I read my second Canadian foreign policy course again, and ... I found. I was very easy for the link was on the slide's link -foreign policy : external factors. So I clicked. The result : two experts presenting the greatest theory in international foreign policy analysis, talking about "the Great White North".

Then I remembered... Yeah, I also heard about Canadian humour in another course, Canadian govenment. The conclusion was more pessimistic -according to my British professor who still has difficulties to understand Canadian jokes.

Anyway, I found it so damn funny...

The second link is just for fun, dedicated to Boy Chuck Norris -whose nails are on one of the Niagara pictures...



http://fr.youtube.com/watch?v=kh4k3L0WrEE&mode=related&search

http://fr.youtube.com/watch?v=NdD54rG9oQA&feature=dir

dimanche 23 septembre 2007

@ JT Baxter's & Barney's




One party among the others. That was @Barney's, one of the most crowed bar downtown London on Thursdays. No wonder then, it was saturay night and there wasn't a soul there (or "not a cat", pour les puristes). But what tht noise out there? I forgot, Canadians don't fear cold : everybody was in the patio! Naturally, we had, quite often I confess, to come back inside -see last picture above. So much fun & no hangover (that could be a motto).
PS: I decided to write partly in English, "so that the planet Earth can contact you and so on".






mercredi 19 septembre 2007

Niagara Falls

























Il est sûrement toujours impressionnant de voir la dégénérescence d’une culture, d’une race. Je suppose que cela prend une importance particulière quand il s’agit de la « race humaine ». Quiconque en est témoin doit se sentir puissant, et tellement petit à la fois. C’est seulement une question de conscience, de perception, de sensibilité.

D’habitude voir les touristes prendre des photos de tout et n’importe quoi me fait, dans un premier temps sourire ; et me met hors de moi dans un second. C’est sûrement une question de point de vue : on est toujours le touriste de quelqu’un. Mais tout de même, certaines fois, cela devient insupportable. Je crois que le pire est d’être pris dans cette masse indifférenciée de crépitements photographiques, jusqu’à sentir, à son corps défendant, à la fois dans la résistance et le renoncement d’une ultime souffrance, la perte de son identité. Je suis asiatique.
Nous errons dans un univers de papier mâché. La plupart du temps, il s’agit de montrer que l’on est large et imposant, que l’on brille par l’apparence d’un slogan sophiste. A l’intérieur le vide est assourdissant. Les façades de la ville de Niagara, ne sont rien d’autre que le miroir des gens qui prennent du plaisir à les regarder. Ils s’admirent et s’en félicitent. Je pense qu’ils en sont conscients : ils célèbrent leur victoire et leur trophée est devant eux.
Comment décrire la ville de Niagara ? Elle consiste en quelques axes routiers principaux -deux ou trois-, une quantité impressionnante de musées de l’horreur, des records, de fast foods, et de cafés –où on ne sert que ces longs expresso en gobelets et, évidemment (sic) pas d’alcool-. J’allais oublier les hôtels et casinos, pharaoniques, mais qui nous rappellent pas la négative que la noblesse et l’élégance sont aussi une question de puissance de volonté. Car c’est bien cela, je me demande quelles représentations diplomatiques pouvait bien abriter l’embassy hotel…
Les chutes ? Très bien, les voilà ! D’un côté, il y a les –petites- american falls ; de l’autre, les –grandes- Niagara falls. Il est vrai qu’elles sont assez impressionnantes. Une fois chargée de ces passagers, ces heureux Boat people, la petite coquille de noix, maid of the mist, quitte le quai surpeuplé pour un voyage d’au moins 35 « bonnes » minutes sous les chutes. En guise de protection imperméable, d’énormes sacs en plastique bleu à l’effigie du bateau –un des meilleurs moments du voyage, je ne rigole pas. Bref, on embarque. On s’approche des chutes, assez pour recevoir les embruns et faire une belle photo. Retour sur la terre ferme. C’est là qu’il va falloir faire preuve d’imagination pour occuper ce temps qui commence à se faire long. Il va bien falloir s’extraire de ce groupe en loques…

Comme disait le poète : « je ne sais plus si c’est moi qui suis seul ou les autres qui sont trop nombreux » ; l’un n’empêche pas l’autre. La formule résume la visite.

A bay bay!

En réponse aux provocations d'un certain blog, je publie ce nouveau post : hymne de Huron University College ! A bay bay (prononcer "eh baby") :

http://fr.youtube.com/watch?v=T4tnlRQGyH0

PS: ouf, enfin un vrai son gansta ricain...

samedi 15 septembre 2007

Touchdown !

Encore du footbal canadien ... dans un phase de jeu intéressante, le touchdown (l'attaquant doit rentrer dans la zone d'en but avec le ballon; il n'est pas nécessaire que le ballon touche le sol -mais pourquoi ça s'appelle "touchdown"?). Avec cette fois un exercise : trouver le ballon du premier coup. Attention c'est très rapide!

dimanche 9 septembre 2007

Canadian football I


Est-ce que quelqu'un connaît la différence entre le footbal américain et le football canadien en dehors de Canadiens eux-mêmes? Il est très possible que non.

La réponse tient en trois mots : longer (les périodes), bigger (le terrain), faster !

Quoi qu'il en soit, je serais incapable d'argumenter de l'intérêt de ce sport en comparaison du rugby.

Bon, sans mauvaise foi, le football semble un peu plus stratégique. Mais le jeu est hâché par les coups de sifflet de l'arbitre à chaque fois que le ballon touche de sol; et franchement, porter de telles armures sans faire preuve de violence me semble être du gâchis. En fait, il paraît qu'il s'agit plus de faire mal à l'adversaire que de se protéger soi même, ça reste à prouver...

@ mini golf


Oui, c'est bien finding Nurmo, un des spohs de Huron, qui réalise qu'il a manqué son 16ème birdy dans le même trou!!

Lake Huron















Grand Bend, une des plages du lac Huron, lui même un des cinq grands lacs.
Thanks everyone for this wonderful day spent under the sun : my shoulders remember...
Sur ces photos, des nouveaux venus sur le blog : Heather et Kim toutes deux étudiantes canadiennes, Jerry (de Chine) et Bérengère, la seule Française de la maison et de SCIENCES PO LILLE.

Masonville


At the Japanese restaurant in Masonville mall : Justin (China), Satoshi and Kosuke (Japan), myself
In the international student lounge, from left to right : myself, Farah (from Bahrein), Risa (from Japan), Clara (from Singapore) and Qiao (from China)

"It's a wild world"






Magnifiques vues depuis ... le palier de la Henderson House -la maison que je partage avec 10 autres étudiants internationaux. Autour de nous, la forêt : il y a quelques avantages à être un petit peu éloigné du campus principal. En conséquence, les animaux sauvages sont notre quotidien : prolifération d'écureuils, quelques marmottes, des ratons laveurs et mêmes des biches... sans compter les milliards d'insectes encore non identifiés. J'entends des ricanements. C'est vrai pourtant; il est bon d'être dans la nature, même si on ne peut se passer de wifi !

Ma chambre -une partie-

Voilà une idée de ma chambre au confort rudimentaire et dont on ne peut ouvrir la fenêtre (bloody air conditionned)...

vendredi 7 septembre 2007

On n'arrive jamais trop tôt à l'aéroport


Mon histoire commence ici.

9h30, me voilà parti pour un voyage dont les modalités semblaient fixées depuis deux mois (date à laquelle j'ai pris mes billets).

Mais arriver à Toronto après 13 heures d'avion aurait été trop facile. C'est pour cela que ma nature m'a rattrapé pour me faire manquer mon vol. En conséquence, bloquage à Munich. Je dois remercier l'employée de la Lufthansa qui semblait autant désemparée que moi. Finalement, nouveau vol, via Francfort et nouvelle attente (merci le Goethe bar) en perspective de 8 heures de vol.


Nb: A ma décharge, l'avion a été retardé au départ de Lyon et l'on m'a indiqué le mauvais terminal à Munich...